Qui y mord y meurt, amorce marrie ou maléfice mûri, amour débord et fantasmagorie, dès l’abord ou labour réjoui, labeur maudit et message mélodie, la crue croit au cri et défie le fiel des félons qui l’ennuient, de leur foi qui dénie ses infinis.
Toi, tu saisis et rassasies, quand de l’onde au dépit tu défends le droit aux diffus et falsifies les lois pour filer la toison d’or. Fille infaillible, épiphanie. Fibre de nos effusions. Petite manie me démunit. Tu joues, tu jouxtes, tu t’enfuis. Dans nos serments ton ironie. Tu ris. Tu t’enfouis.
Qui marche en mors subit l’appât d’un corps si nu qu’en naît l’envie.
Arracher, déployer, murmurer au halo les visions du repli.
Hululer, hurler, harceler la joie.
S’emmurer dans l’émoi et cimenter les jointures
Vibrer aux toiles dessinées
Qui y mord s’y meut. S’y noie.
Et nous délie, délivre, dérive
A jamais…